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Samantha Stosur
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Petra Kvitova
 
Samantha Stosur
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182cm
Вышыня
175cm
70kg
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En deux temps, Hurkacz rejoint le deuxième tour Hubert Hurkacz s’est fait peur, mais il s’est finalement ressaisi pour s’imposer et obtenir son billet pour la suite du tournoi. Opposé à Radu Albot (144e, issu des qualifications), le Polonais a eu du mal à se mettre dans son match, commettant beaucoup trop de fautes directes. Cela dit, retrouvant une première balle de plus en plus efficace (24 aces, 85 % de points gagnés sur premier service), le numéro 7 mondial a progressivement repris le contrôle de la partie pour finalement s’imposer en un peu plus de 2h30 (5-7, 6-4, 6-3, 6-4). Réalisant près de 50 coups gagnants sur l’ensemble du match, le finaliste malheureux du tournoi de Halle rejoint donc le deuxième tour où il affrontera le vainqueur du match entre Fils et Stricker.
À Wimbledon, Rybakina et Pegula réussissent leurs débuts Démarrage réussi pour Elena Rybakina et Jessica Pegula. Opposées à des adversaires très à leur portée, elles rejoignent ainsi le second tour. Portée par une confiance toute neuve depuis son retour gagnant réussi à Berlin, où elle s'est adjugée le sacre, la numéro 5 mondiale a fait part de toute sa maîtrise pour étriller Krueger en à peine plus de 40 minutes (6-2, 6-0). Intouchable au service et très agressive dans le jeu, Pegula a donné une vraie leçon de tennis à sa compatriote et rejoint Wang, 42e mondiale, au deuxième tour. De son côté, la numéro 4 mondiale et vainqueure de Wimbledon en 2022 n’a pas eu beaucoup plus de mal à rejoindre le tour suivant. Opposée à la modeste Ruse (152e, issue des qualifications), la Kazakhe a fait parler sa puissance et son sens du jeu pour s’imposer très tranquillement en seulement 1 h 10 de match (6-3, 6-1). Au prochain tour, elle affrontera Laura Siegmund, une joueuse encore assez largement à sa portée.
Tiafoe se confie sur son état de forme : “Je suis à peine tête de série ici, à perdre contre des clowns” Frances Tiafoe n’est pas dans la meilleure période de sa carrière, loin de là. Auteur d’une saison jusqu’ici très décevante, il ne cesse de reculer au classement et pointe cette semaine à la 29e place mondiale. Opposé à un excellent Arnaldi au premier tour, le joueur de 26 ans a réussi à se qualifier un peu miraculeusement pour le second tour. Mené deux manches à rien, il a su retrouver son meilleur tennis lorsqu’il le fallait pour finalement s’imposer en 5 sets au terme d’une magnifique “remontada” (6-7, 2-6, 6-1, 6-3, 6-3). Questionné suite à cette belle victoire, Tiafoe a bien voulu revenir sur la période de doute qu’il traverse actuellement. Parlant sans langue de bois, il a expliqué : “Le tennis est brutal. Il y a des hauts et des bas. Regardez où j'en suis. J'étais 10e mondial l'année dernière et maintenant, je suis à peine tête de série ici, à perdre contre des clowns. Je déteste le dire, mais je vais être honnête. J'ai pris le jeu pour acquis et je me suis un peu trop relâché. Vous arrêtez de vous amuser et vous vous retrouvez dans une position étrange. Puis vous oubliez ce que vous faisiez pour gagner. Comme tout, rien n'est toujours rose. C'est la vitesse à laquelle vous pouvez vous en sortir. Et il y a toujours de la lumière au bout du tunnel. Vous essayez de la trouver avec de petites victoires, ou alors vous continuez à vous apitoyer sur votre sort et à jouer la victime. C'est là que ça devient de plus en plus sombre."
Monfils a hâte de défier Wawrinka : "On joue parce qu'on kiffe, tout simplement" Ce sera l’un des duels les plus attendus du second tour. Gaël Monfils et Stan Wawrinka vont se retrouver ce mercredi dans un duel vintage qui nous rappellera forcément l’âge d’or du « big four » où l’un comme l’autre faisait partie des rares joueurs capables de les challenger. Interrogé à ce sujet, ‘La Monf’ n’a pas caché son impatience : "C'est cool de jouer 'Stan the man'. C'est mon pote, mais plus que ça. Il sait que j'ai beaucoup d'admiration pour lui. Il m'a beaucoup aidé sur pas mal de choses. Quoi qu'il arrive, je sais que je vais prendre du plaisir. Il sait qu'on va rigoler. Je ne l'ai jamais joué sur gazon. Est-ce qu'on arrive à se surprendre ? Oui et non. Ça sera à celui qui y arrivera un peu pour déséquilibrer l'autre. À moi de varier sur des choix, mais lui le fera aussi. Quand on joue des potes avec qui on s'entraîne beaucoup, ça se joue à quelques choix différents. On est loin de notre 'prime', mais on va tout faire pour continuer à jouer. On joue parce qu'on kiffe, tout simplement. On se sent bien dans ce qu'on fait. On a forcément des objectifs moins élevés, mais on a du gaz pour donner du fil à retordre à certains joueurs. Je suis plus vieux, mais j'aime jouer ! Je me défends. On a l'impression qu'on n'a pas le droit. Et Stan aussi, vainqueur de Grand Chelem, plus vieux que moi, c'est beau. Je kiffe le voir jouer."
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